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Introduction

L'évolution du rapport au travail au fil des années a considérablement transformé la manière dont nous percevons cette composante essentielle de notre vie.
Il est devenu une dimension cruciale de notre bien-être global.
Cette évolution de la perception du travail et de la vie  hors travail est le reflet de changements sociétaux significatifs.
Ainsi, selon notre rapport personnel au travail, nos priorités individuelles et l'environnement professionnel dans lequel nous évoluons, le travail peut revêtir différentes facettes. Il peut être une source de bien-être, où nous trouvons un  épanouissement ou une source  de mal-être.

Le Travail : Source de bien-être

Le travail peut être une source de bien-être et répondre à nos besoins psychologiques tels que la reconnaissance, l'appartenance, l'estime de soi, et la sécurité. Il nous permet également de nous épanouir individuellement et socialement.

Cependant, notre identité professionnelle peut parfois prendre le pas sur notre identité individuelle, entraînant un investissement psycho-affectif excessif, ou au contraire, une forme de rejet.

Le Travail : Source de mal-être

Le travail peut parfois être la source de notre mal-être lorsque nous sommes confrontés à des difficultés au travail ou à une forme de désinsertion professionnelle (licenciement, démission, rupture conventionnelle, arrêt de travail…).

Le travail nous confronte à nous même, à notre relation à l’autre, et à nos valeurs profondes lorsque celles-ci sont ébranlées.

Ce sentiment de mal-être lié à une problématique au travail peut faire écho inconsciemment à nos premières expériences sociales (familiales, scolaires, sportives, associatives) et psychoaffectives (relation amoureuse, amicale, familiale…).

Ainsi notre parcours professionnel s’imbrique avec notre chemin de vie personnelle (nos choix, nos décisions, nos relations passées, nos valeurs, nos peurs, nos traumas…).

Certains schémas cognitivo-émotionnels peuvent se répéter, se réactiver dans notre relation à l’autre, à un groupe où à une institution.

Sentiment d'injustice, de colère, de dévalorisation, de rejet, d'inutilité, d’incompétence, d’échec, de démotivation… avec cette impression de subir ces situations complexes pour lesquelles on se sent prisonnier.

La psychologie du travail est avant tout une approche psychosociale

La psychologie du travail est une sous-discipline de la psychologie sociale et l'un de ses champs d’intervention.

Celle-ci s'inspire des grands travaux de la  sociologie, de la clinique, de la psychanalyse, de la philosophie, de l’anthropologie, de la psychologie générale...

Elle interroge à la fois la dimension individuelle psycho-affective mais aussi son interaction dans la sphère sociale.

L’être humain est avant tout un être social, la formation de son identité personnelle s’inscrit dans un contexte d'interrelation, où l'image de soi se construit à travers le regard d'autrui.

Ainsi cette approche nous permet d'avoir une vision globale de l'individu et de l'inscrire dans une situation donnée afin de mieux comprendre ses conduites, ses perceptions, son système de norme d'idées, de croyances et enfin les mécanismes défensifs conscients et inconscients qu'il met en place.

Mon approche

Mon approche théorique repose principalement sur une orientation centrée sur la clinique de l'individu, du groupe et de l'activité. Ma pratique se veut être intégrative car je m'inspire de multiples références théoriques, telles que la théorie des émotions, la théorie cognitivo-comportementale, la théorie du trauma, la psychologie positive, la psychodynamique du groupe, la psychopathologie au travail etc. Cela me permet d'adapter mes outils et ma méthodologie en fonction de la situation rencontrée par l'individu ou le groupe, tout en tenant compte du cadre d'intervention, que ce soit en cabinet ou en entreprise.

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